A l’heure de la flambée des prix du pétrole, des controverses autour de l’énergie nucléaire de nouvelle génération, du timide développement des énergies renouvelables en France et en Europe, le défi énergétique est une préoccupation majeure.
Puisque nous sommes de plus en plus nombreux sur cette terre, que de plus en plus d’individus ont accès à l’électricité, à l’eau courante, au transport routier, bref, puisque nous sommes toujours plus nombreux à consommer de l’énergie, il nous faut trouver des solutions pour organiser durablement cette consommation.
Cette organisation passera nécessairement par le développement des énergies renouvelables, mais également par une réduction des gaspillages et une modification des pratiques de consommations. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’objectif des « trois 20 » fixé par la Commission Européenne d’ici 2020: réduction de 20% des émissions de CO2, réduction de 20% de la consommation énergétique et passage des énergies renouvelables à 20% de la consommation énergétique européenne.
Ces initiatives doivent être soutenues au plan politique, à l’échelle mondiale, régionale, nationale mais aussi locale et même individuelle. Tous les secteurs d’activités sont concernés : transport, construction, consommation domestique, production industrielle et agricole. Chacun peut être acteur de cette réflexion et participer à la diffusion de pratiques plus respectueuses de notre environnement commun.
En ce domaine, les situations sont très différentes selon les pays et régions du monde. En Europe, nous en sommes au stade d’un début de prise de conscience que la situation actuelle n’est pas acceptable et qu’il faut réfléchir à un autre développement, plus durable. Dans les pays émergents, l’heure est plutôt à un rattrapage économique et à un mimétisme de nos pratiques irrespectueuses d’hier. Dans les pays les plus en marge du développement, la consommation énergétique est encore très faible par manque de moyens et par la persistance de pratiques traditionnelles, plus respectueuses de l’environnement mais parfois peu efficientes.
Un échange sur nos pratiques respectives en matière d’énergie est nécessaire afin de produire une réflexion commune en la matière et de diffuser des pratiques innovantes allant dans le sens d’une réduction de la consommation.
Puisque nous sommes de plus en plus nombreux sur cette terre, que de plus en plus d’individus ont accès à l’électricité, à l’eau courante, au transport routier, bref, puisque nous sommes toujours plus nombreux à consommer de l’énergie, il nous faut trouver des solutions pour organiser durablement cette consommation.
Cette organisation passera nécessairement par le développement des énergies renouvelables, mais également par une réduction des gaspillages et une modification des pratiques de consommations. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’objectif des « trois 20 » fixé par la Commission Européenne d’ici 2020: réduction de 20% des émissions de CO2, réduction de 20% de la consommation énergétique et passage des énergies renouvelables à 20% de la consommation énergétique européenne.
Ces initiatives doivent être soutenues au plan politique, à l’échelle mondiale, régionale, nationale mais aussi locale et même individuelle. Tous les secteurs d’activités sont concernés : transport, construction, consommation domestique, production industrielle et agricole. Chacun peut être acteur de cette réflexion et participer à la diffusion de pratiques plus respectueuses de notre environnement commun.
En ce domaine, les situations sont très différentes selon les pays et régions du monde. En Europe, nous en sommes au stade d’un début de prise de conscience que la situation actuelle n’est pas acceptable et qu’il faut réfléchir à un autre développement, plus durable. Dans les pays émergents, l’heure est plutôt à un rattrapage économique et à un mimétisme de nos pratiques irrespectueuses d’hier. Dans les pays les plus en marge du développement, la consommation énergétique est encore très faible par manque de moyens et par la persistance de pratiques traditionnelles, plus respectueuses de l’environnement mais parfois peu efficientes.
Un échange sur nos pratiques respectives en matière d’énergie est nécessaire afin de produire une réflexion commune en la matière et de diffuser des pratiques innovantes allant dans le sens d’une réduction de la consommation.
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